Bonjour, je suis Caroline conseillère en immobilier. J’exerce ce métier depuis 5 ans maintenant. C’est pour cette raison que j’ai décidé de partager avec vous mon expérience et vous présenter mes conseils pour réussir vos démarches de vente, d’achat et de location !
Bonne lecture!
En tant que bailleur, vous faites certainement attention à choisir les bons locataires, avec qui vous serez liés par un contrat de bail. Lorsque les relations sont bonnes ça fait plaisir à tous le monde, et le business évolue en paix. Seulement, il arrive parfois que le bail stoppé ou ralenti à cause d’une mauvaise situation du locataire, bien que celui-ci soit parfaitement informé de ses droits, ses devoirs et de toutes les conditions de son logement. Certaines situations sont difficiles à prévoir, et lorsqu’elles surviennent, il faut alors adopter la bonne technique, afin que la situation ne soit pire.
L »immobilier n’est pas un domaine sans problème, et il faut dire que les surprises désagréables peuvent survenir à tout moment. Le premier risque vient de la séparation d’un couple de locataires, ayant les mêmes droits et obligations concernant le logement. La clause de solidarité pour le versement des loyers lie parfois les locataires par le contrat, et il devient difficile d’avoir le loyer une fois que le couple ne vie plus ensemble. Le bailleur a néanmoins le droit de réclamer au conjoint ayant déménagé l’argent du loyer.
Un autre risque est qu’au cours du divorce d’un couple de locataire, la femme garde la maison et le conjoint fils du bailleur doive s’en aller. Dans ce cas, vous serez contraint contraint à garder votre ex-belle fille comme locataire, et votre fils devra continuer à payer le loyer avec son ex-épouse, car ce logement reste comme le domicile familial si leurs revenus le permettent.
La mort d’un locataire reste un autre risque impossible à prévoir. Ici, le bail continue et est transféré soit au conjoint vivant, soit au concubin notoire si jamais il s’est installé après la signature du contrat de bail, soit aux personnes de la famille (ascendants ou descendants) ou toute autre personne à charge résidant depuis un an minimum avec le défunt locataire. Le contrat prend fin le jour du décès si personne ne correspond à ces profils.